Synopsis : La folle journée d’Eddie Mannix va nous entraîner dans les coulisses d’un grand studio Hollywoodien. Une époque où la machine à rêves turbinait sans relâche pour régaler indifféremment ses spectateurs de péplums, de comédies musicales, d’adaptations de pièces de théâtre raffinées, de westerns ou encore de ballets nautiques en tous genres. Eddie Mannix est fixer chez Capitole, un des plus célèbres Studios de cinéma américain de l’époque. Il y est chargé de régler tous les problèmes inhérents à chacun de leurs films. Un travail qui ne connaît ni les horaires, ni la routine. En une seule journée il va devoir gérer aussi bien les susceptibilités des différentes communautés religieuses, pour pouvoir valider leur adaptation de la Bible en Technicolor, que celles du très précieux réalisateur vedette Laurence Laurentz qui n’apprécie que modérément qu’on lui ait attribué le jeune espoir du western comme tête d’affiche de son prochain drame psychologique.
Il règle à la chaîne le pétrin dans lequel les artistes du studio ont l’art et la manière de se précipiter tous seuls. En plus de sortir une starlette des griffes de la police, ou de sauver la réputation et la carrière de DeeAnna Moran la reine du ballet nautique, Eddie Mannix va devoir élucider les agissements louches du virtuose de claquettes, Burt Gurney. Cerise sur le gâteau, il a maille à partir avec un obscur groupuscule d’activistes politique qui, en plein tournage de la fameuse superproduction biblique AVE CÉSAR lui réclame une rançon pour l’enlèvement de la plus grosse star du Studio, Baird Whitlok. Le tout en essayant de juguler les ardeurs journalistiques des deux jumelles et chroniqueuses ennemies, Thora et Thessaly Thacker. La journée promet d’être mouvementée.
Critique : Ce synopsis est très long et pourtant il est moins long que le film lui-même tellement celui-ci est ennuyeux.
Les frères Cohen nous on habitué à de très grands films mais celui-ci, pour moi, est raté.
Commençons par l’histoire qui est inexistante. Ce sont des courtes séquences qui n’ont aucun lien entre-elle ou presque. C’est une sensation bizarre car le film reprend une journée, logiquement landa,d’Eddie Manix où il y a plein d’événements et en même temps il n’y a rien d’intéressant qui se passe.
Les personnages se succèdent sans être introduis ou développés. Du coup, on s’en fout complétement de leurs problèmes et on ne retient même pas leurs noms.
C’est censé être une comédie, j’ai rigolé une seule fois pour 1h40 de film c’est peu.
On a beaucoup d’acteurs de talent ça c’est clair mais ça ne sert à rien vu le scénario et les personnages proposés, c’est comme si vous réunissiez les 11 meilleurs footballeurs au monde et sans leur donnez un ballon, on risque fort de s’ennuyer. Ralph Fiennes et Scarlett Johansson vous oubliez ils ne servent à rien et leurs apparitions tiennent plus du caméo que d’un vrai rôle, la seule utilité c’est de gonfler l’affiche. Channing Tatum c’est pas beaucoup mieux, il montre qu’il sait faire des claquettes et des têtes bizarres et c’est à peu près tout. George Clooney n’est pas loin de son niveau dans Batman et Robin, ce qui veut tout dire.
Non franchement je ne comprend pas ce film, la seule chose que j’ai compris c’est que le communisme c’est mal et Jésus c’est cool mais je pense pas que c’est le message que voulaient faire passer les frères Cohen.
J’ai été voir différentes critiques pour voir l’avis d’autres cinéphile amateur et j’ai vu un nombre gargantuesque de superbe note avec des explications à rallonge où finalement le résumé c’est « c’est un film des frères Cohen donc c’est bien ». Même si j’aime les films des frères Cohen en générale, je ne peux soutenir celui-ci et ma côte personnelle va être très basse.
Ma note : 0.5/10.
la critique du pangolin 