Synopsis : Suivez les aventures du seul véritable héros de jeux vidéos ! Wario, c’est le plus costaud et ce n’est pas un rigolo ! Pourtant, il vous fera mourir de rire avec ses gags et sa fâcheuse tendance à régler tous les problèmes à la force de ses poings. Les vampires ont peut-être peur de l’ail mais lui, ça le rend invincible !!! Ses ennemis n’ont qu’à bien se tenir… Et des fois, ses amis aussi ! Critique : Au Japon, beaucoup de gros succès de jeux vidéo sont adaptés en manga. Ceux-ci arrivent progressivement chez nous et après Mario, Zelda ou encore Kirby voici Wario l’anti-héros. Toutes celles que j’avais lu jusqu’à maintenant étaient sympathiques et avec un personnage comme Wario je m’attendais à un résultat super fun. Malheureusement, j’ai été très déçu car le niveau n’est vraiment pas bon.Déjà au niveau du dessin, c’est très fouillis. On a une impression de dessins qui se superposent, du coup, on ne voit vraiment pas bien les illustrations. C’est vraiment dommage car il y a une super utilisation de la technique de la déformation des personnages mais elle est gâchée car noyé dans l’ensemble.Pour l’histoire, ce n’est pas mieux. C’est forcément très basique mais c’est le style qui veut ça donc ça ça va on va dire. Par contre, avec un univers aussi riche avoir si peu de références claires et notables ce n’est pas normal. Là où Kirby joue très bien avec les références des jeux les plus connus, ici rien. Du coup, on ne sait pas se rattacher à nos souvenirs ludiques et on a juste une histoire faible et très lourde. Lourde car le pire c’est l’humour. Wario passe son temps à faire des blagues pourries qui ne sont vraiment pas drôles. Je suis pourtant bon public quand on parle de jeux de mot pourris mais là c’est vraiment trop mauvais.Un manga vraiment décevant, surtout au vue des autres adaptations du genre. Je ne le recommande pas et je ne lirais pas la suite.
Ma note : 1/10.
la critique du pangolin 